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France BPCO, l'urgence vitale - Bienvenue sur notre nouveau site web !

Les résultats des sondages sont alarmants

Sondage « BPCO-Covid ». Mai 2020.

Des résultats alarmants. Partagez. Tout le monde doit le savoir. Une gestion catastrophique de l’Autorité de Santé. Absence des organisations médicales. Silence des médias ou presque. Défaillance de la prise en charge des kinésithérapeutes pour des soins essentiels …
81% des sondés n’ont eu aucune information provenant du réseau médical et institutionnel. Parmi ceux qui ont reçu une information, la réponse venait du réseau des soignants pour seulement 24% d’entre eux. Moins de 1% aura reçu une information de la CPAM. Seuls 11% ont eu une proposition de masque (ne répondant pas aux besoins du patient) par leur mairie. Une grande majorité des patients BPCO se sont vu refuser ce moyen technique pour se protéger (sachant que seul un masque à haute filtration met en sécurité un BPCO). À suivre : la prise en charge des soins de kinésithérapie, visibilité de la BPCO dans les médias et le rôle joué par les institutions et organisations de pneumologie.

Sondage « BPCO-Covid ». Mai 2020. Résultats 2.

‘’Le cabinet était fermé mais pour l’instant faites sans nous’’. Très mal informés et mal formés sur le sujet BPCO, les kinés ont baissé les rideaux de leurs cabinets sans prévenir le 17 mars dernier à la demande de leur autorité nationale et les résultats sont là, en-dessous de tout. Partagez. Tout le monde doit le savoir.
Plus de 84 ,5% des patients BPCO sont restés sans soins pendant 2 mois. Une catastrophe supplémentaire qui pèse maintenant par le développement de décompensation souvent très sévère. Après 3 mois, plus de 55% des patients n’ont toujours pas repris en cabinet ou à domicile. Les kinésithérapeutes dont ont peu comprendre au final qu’ils ne soient pas intéressés au regard de la littérature et de ce qu’on leur enseigne sur le sujet BPCO (la maladie du ‘’vieillard fumeur qu’il faut faire cracher’’) n’ont pas saisis l’urgence et l’exigence que nécessite la prise en charge des patients.
Leur représentation hexagonale a rejeté d’un revers de la main le meilleur dossier qui leur aura jamais été présenté, dixit les professionnels de très haut niveau qui ont travaillé sur le projet de présentation avec 3 niveaux d’interventions. Le résultat du sondage les concernant est à la hauteur de leur défaillance dans la crise Covid et post Covid.
Pour rappel, la kiné-respiratoire et le reconditionnement physique sont des soins essentiels pour les BPCO. Des pratiques de premières importances pour la vie et la survie d’un très grand nombre. Il va falloir évoluer rapidement.

Sondage « BPCO-Covid ». Mai 2020. Résultats 3.

Vous avez dit BPCO ? Et où ça ?
Des mois de crise d’une pandémie respiratoire qui affecte en priorité le poumon pour ne pas entendre parler de ceux qui sont les premiers à risque face au Covid19.Nous savons depuis longtemps que des intérêts particuliers souhaitent garder dans l’anonymat cette pathologie grave pulmonaire mais de là à ne pas avoir entendu les spécialistes dudit organe sur les antennes quand il est au premier rang des concernés, ça devient de plus en plus inquiétant.
81% des sondés sur la question disent constater l’absence totale d’information/ de présence (à l’antenne) de la pathologie BPCO dans les médias hormis les messages lancés par FRANCE BPCO. 0 la question : à votre avis, les messages sur les antennes des médias ou dans la presse écrite ont-ils évoqué PARTICULIÈREMENT les BPCO et les précautions urgentes à mettre en œuvre ont-elles été suffisantes, ou inexistantes ?
77% répondent inexistantes, 2% insuffisantes, les autres ne se prononcent pas.
À l’unanimité ou presque tous les patients font aussi le constat de l’absence magistrale des responsables des institutions de pneumologie qui ont abandonné les patients dans la nature se contentant de publier quelques posts un peu décalés avec l’urgence et la violence à laquelle les patients étaient confrontés.
Les médias n’en ont pas rajouté non plus sur le sujet.
Certains jours nous avons eu droit aux maladies chroniques, d’autres aux maladies respiratoires susceptible d’évoluer mal (il serait intéressant de nous dire lesquelles un jour) jusqu’à faire référence à une simple ’’fragilité pulmonaire’’ et autres subterfuges pour au final ne pas évoquer le sujet direct de la première cause lourde en volume et en dégâts humain qu’est la bpco. On voudrait enterrer son chien que l’on ne ferait pas mieux. Indigence, irresponsabilité, collusion incertaine, tous les ingrédients étaient réunis pour ne pas évoquer le mot BPCO.
Mais une question de fin. Quel est l’organe impacté principalement par le Covid19 ?